Extrait de http://www.leprogres.fr/economie/2015/02/25/les-apiculteurs-ont-de-sacrees-raisons-d-avoir-le-bourdon
Météo pourrie, parasites, pesticides, frelons…
Pourtant, tout avait bien commencé. « L’hiver a été doux et nous avons eu un printemps sec avec de nombreuses fleurs ». Malheureusement, « les pluies de juin, juillet et août ont tout gâché. Non seulement les abeilles ont consommé le nectar ramassé mais il a fallu les nourrir massivement pour les sauver ».
« Pour le colza et l’acacia, c’est carrément zéro [kg de miel]. Pour le miel de fleurs, on est à 3 kg de moyenne. Du coup, ça fait augmenter le prix du miel de 20 à 30 % et celui des essaims d’abeilles ».
Afin de maintenir une certaine production et soutenir les apiculteurs, le conseil départemental de la Haute-Loire avait donné des instructions pour un fauchage tardif des talus [voir aussi
Les pesticides : « Nous remercions nos sénateurs qui ont voté le texte pour leur suppression mais c’est très regrettable qu’il n’ait pas été adopté, faute de majorité. »
Enfin, il est avéré que le frelon [asiatique] a bien fait son arrivée en Haute-Loire.
Que faire ?
Arrêtons de jouer et prenons le taureau par les cornes : voir Aider les abeilles.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Vous pouvez ajouter des commentaires, ils seront affichés immédiatement, merci